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Jeu 1 (Mars 2025)
Parmi les espèces proches des ânes présentées ci-après, retrouvez leurs habitats naturels sur la carte. (Réponses à la suite)
A : Le kiang
Proche cousin des ânes, je peux rappeler l’hémione, dont je ne suis pas très éloigné géographiquement. Ma couleur est cependant plus contrastée.
Je vis en grands troupeaux, dans les plaines durant l’hiver, où je me nourris de plantes salées. On me surnomme aussi « âne sauvage du Tibet ».
Photo :Bodlina en licence CC-BY
B : Le zèbre de Grévy
Je suis le plus grand des équidés sauvages et vis en petits troupeaux. Les mâles de mon espèce deviennent vite solitaires et territorialistes. Je survis jusqu’à cinq jours sans boire. Ma population est passée de 15 000 individus à environ 2 000 entre les années 1970 et 2004. Depuis cela se stabilise, mais je suis considéré comme une espèce en danger.
Photo :Thomas Lersch en licence CC-BY-SA
C : L’hémione, onagre ou âne sauvage d’Asie
Ma robe est beige clair, et je possède une raie noire le long de la colonne vertébrale. Mon ventre et le bout de mon nez sont blancs, comme l’Âne sauvage d’Afrique. Je ne survis à l’état sauvage que dans des isolats désertiques en Mongolie et dans les régions chinoises frontalières, mais aussi dans des petites zones en Asie centrale, en Iran et dans le Nord de l’Inde.
Photo :Parth Kansara en licence CC-BY
D : Le zèbre de montagne
Je vis dans les montagnes, dans les escarpements et les éboulis rocheux en montagne, jusqu’à 2 000 m d’altitude. Mes rayures peuvent être noires et blanches ou brun foncé et blanches. Les bandes couvrent l’ensemble de mon corps à l’exception du ventre.
Photo :Yathin S Krishnappa en licence CC-BY-SA
E : L’âne sauvage d’Afrique
Ancêtre de l’âne domestique, je vis dans les déserts et autres zones arides. Ma robe est beige clair avec une raie noire le long de la colonne vertébrale. Mes pattes sont rayées horizontalement. En raison de la végétation éparse dans mon environnement, moi et mes congénères vivons un peu séparés les uns des autres. Avec environ 700 individus, je suis en « danger critique d’extinction ».
Photo :The Land en licence CC-BY-SA
F : Le zèbre des plaines
Autrefois abondant et répandu sur un large territoire en Afrique subsaharienne, je suis passé en 2016 de « Préoccupation mineure » à espèce « Quasi menacé ». Mon territoire est de plus en plus épars. Comme mon nom l’indique, je vis dans les plaines.
Photo :Yathin S Krishnappa en licence CC-BY-SA
G : Le cheval de Przewalski
Mon aspect rappelle les représentations de l’art préhistorique. Je suis massif, bien que petit (1,30m au garrot). Je vis à l’état sauvage mais mes ancêtres ont été domestiqués il y a près de 5 500 ans par la culture Botaï, au Kazakhstan, avant de retourner à l’état sauvage. Je constitue la plus ancienne population de chevaux vivant à l’état sauvage et représente à cet égard un groupe dont la protection est fondamentale.
Photo :Claudia Feh en licence CC-BY-SA
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